« … Le jeu de la virtuose fribourgeoise, plein de mœlleux et de rondeur, va loin dans les variations d’intensités et les effets subtils créés par les mille manière de pincer les cordes. Il y a un élan, de la profondeur dans ces mains-là. Elles portent un point d’orgue l’adagio comme une moment d’éternité, … »
D’Elisabeth Haas, La Liberté, mercredi 23 avril 2008